Bérénice M. REYNAUD, nouvelle membre du bureau des jeunes chercheurs du GIS Asie

Après une double formation en études chinoises et en études cinématographiques dans les universités Lyon 2 et Lyon 3, Bérénice M.REYNAUD a soutenu fin 2020 une thèse intitulée "Cinéma de femmes et condition féminine en Chine : une analyse de films de Ning Ying, Li Yu, Li Shaohong et Xu Jinglei (2001-2007)" à l’université Jean Moulin Lyon 3 sous la direction de Corrado Neri. 

Après une double formation en études chinoises et en études cinématographiques dans les universités Lyon 2 et Lyon 3, Bérénice M.REYNAUD a soutenu fin 2020 une thèse intitulée "Cinéma de femmes et condition féminine en Chine : une analyse de films de Ning Ying, Li Yu, Li Shaohong et Xu Jinglei (2001-2007)" à l’université Jean Moulin Lyon 3 sous la direction de Corrado Neri. Sa thèse, qui est en cours de retravail en vue d’une publication future, se focalise sur l’analyse du regard féminin (ou female gaze), de la figure de la flâneuse et des fins ouvertes dans des films de réalisatrices chinoises des années 2000.

Image
Bérénice M REYNAUD

Bérénice Reynaud est actuellement chercheuse associée à l’Institut d’Etudes Transtextuelles et Transculturelles (IETT) où elle poursuit ses recherches. @ Bérénice M. REYNAUD

Ses recherches portent sur des films de réalisatrices de République Populaire de Chine, les mouvements féministes et les études de genre en Chine. Plus récemment, elle s’intéresse à la représentation du travail du sexe dans les cinémas chinois ainsi qu’aux enjeux autour de la maternité et des masculinités.

Avant de rejoindre le bureau des jeunes chercheur.e.s du GIS Asie, elle a été très active au sein de l’association de jeunes chercheur.e.s lyonnaise "les Têtes chercheuses" dont elle a été la présidente en 2019. Elle a participé à plusieurs tables rondes dédiées au cinéma chinois et intervient régulièrement dans des festivals de cinéma. Elle a également enseigné plusieurs années dans le département de
chinois de l’université Lyon 3.

Elle a notamment publié un article dans la revue Chinese Independent Cinema Observer intitulé Female Agency in Li Yu’s Lost in Beijing: from “object of the look” to “subject who looks, et deux chapitres d’ouvrages collectifs intitulés Travail du sexe et censure du cinéma en République Populaire de Chine : le cas de Lost in Beijing (2007) de Li Yu et The female gaze in Xu Jinglei’s Letter from an unknown woman (2004) sont actuellement en attente de publication respectivement aux éditions de
l’Harmattan et aux presses de l’université d’Edinbourg.

Jeunes chercheur.e.s
Image
Bureau des jeunes chercheurs