L'Université de Strasbourg, nouvel établissement membre du GIS

Après les universités de Lille et La Rochelle l’année dernière, c’est au tour de l’Université de Strasbourg de rejoindre le GIS Asie. Elle compte une trentaine d’enseignant·e·s-chercheur·e·s travaillant sur l’Asie, dont une dizaine au « Groupe d’études orientales, slaves et néo-helléniques – UR1340 GÉO », et une vingtaine réparti·e·s dans d’autres équipes. Le GIS Asie compte ainsi désormais 25 établissements adhérents et 34 équipes affiliées.

Le « Groupe d’études orientales, slaves et néo-helléniques – UR1340 GÉO » est hébergé à la Faculté des Langues. Il réunit une trentaine d'enseignant·e·s-chercheur·e·s dont dix titulaires qui travaillent sur l’Asie, que ce soit sur la République populaire de Chine, le Japon, Taïwan, l’Inde ou des pays d’Asie centrale :

Bechler Antonin (études japonaises, littérature moderne et culture populaire)▪Bizais-Lillig Marie (études chinoises, littérature et culture lettrée médiévales)▪Boutonnet Thomas (études chinoises, pensée politique dans la Chine contemporaine)▪Campo Daniela (études chinoises, bouddhisme au XXe siècle)▪Kuroda Akinobu (études japonaises, philosophie moderne)▪Lesigne-Audoly Evelyne (études japonaises, littérature de l’époque Heian)▪Schaal Sandra (études japonaises, société et genre à l’époque moderne)▪Takahashi Nozomi (études japonaises, sociolinguistique)▪Murakami-Giroux Sakae (études japonaises, théâtre classique)▪Oguibenine Boris (institut d'études sud-asiatiques, linguistique)

Les recherches menées au sein de cette équipe portent sur des périodes différentes et relèvent de disciplines variées. Elles se caractérisent par un travail sur des sources originales dans les langues concernées. Il s’agit donc d’un espace privilégié pour la formation de doctorant·e·s en prise directe avec les régions asiatiques d’hier et d’aujourd’hui.

Des recherches sur l’Asie sont menées aussi par un certain nombre de chercheur·e·s et enseignant·e·s-chercheur·e·s en sciences humaines et sociales à Strasbourg :

Akgönül Samim (UMR DRES, sciences politiques, Asie Centrale)▪Bittinger Nathalie (UR ACCRA, cinéma, Chine, Taiwan)▪Choné Aurélie (UR Mondes germaniques, littérature, Inde)▪De Rugy Marie (UR ARCHE, histoire, péninsule indochinoise)▪De Tapia Stéphane (UMR DynamE, géographie, Asie centrale)▪Deboos Salomé (UMR SAGE, anthropologie, Inde, Taiwan)▪Ducoeur Guillaume ( UMR Archimède, histoire des religions, Inde)▪Kim Kyong-Kon (UR TCSR, histoire des religions, Corée, Chine)▪Kostka Alexandre (UMR SAGE, histoire, Japon, Taiwan)▪Lomo Myazhiom Aggée (UMR DynamE, histoire, Japon)▪Marin Séverine (UR ARCHE, histoire, Asie)▪Mohnike Thomas (UR Mondes germaniques, mythologie, Asie du Sud-Est)▪Munier Francis (UMR BETA, économie, Chine)▪Nord Nicolas (UR CDPF, droit, Chine)▪Normand Romuald (UMR SAGE, didactique, Chine)▪Peter Alain (UMR SAGE, journalisme, Chine)▪Sanchez Jean-Noël (UR CHER, histoire des religions, Philippines, Cambodge)▪Young Andrea (UR LiLPa, didactique, Chine, Taïwan)

Le GIS se félicite de cette adhésion d’un très grand pôle universitaire en région et tient à saluer le travail considérable sur cette candidature réalisé par Marie Bizais-Lillig, qui est par ailleurs très impliquée dans le consortium DISTAM.

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