Le Nouvel An lunaire est l’une des fêtes les plus importantes de la culture chinoise. L'occasion de s'intéresser à l'une des plus grandes diasporas du monde, unie par certaines pratiques culturelles, mais aux parcours, conditions de vie et rapport à Pékin très différents selon les pays.
Diasporas chinoises
De Bangkok à Singapour, une “grande famille” ?
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Siècle après siècle, des communautés chinoises se sont implantées en Asie du Sud-Est, non sans susciter méfiance et hostilité dans les pays d'accueil. Face aux tentatives d'instrumentalisation de Pékin et à la montée des Triades criminelles, l'identité chinoise n'est pas toujours simple à assumer.
En Europe, nouvelles générations, nouvelles aspirations (2/4)
Les communautés chinoises du monde entier célébreront demain le Nouvel An lunaire. En Europe, si elles se sont longtemps tenues à l'écart de la sphère politique de leur pays d'accueil, des revendications et engagements se font jour à mesure que les profils des membres de la diaspora évoluent.
D’Abidjan à Yaoundé, la roue de la fortune en Afrique (3/4)
L'Afrique de l'Ouest a la cote auprès des Chinois qui espèrent faire fortune en ouvrant des commerces de produits manufacturés. Mais rares sont les entrepreneurs à s'y établir à long terme, la plupart préférant rentrer en Chine une fois leurs bénéfices réalisés.
De Paris à Canberra, le blues des étudiants chinois (4/4)
Depuis les années 1980, de plus en plus de Chinois partent étudier à l'étranger. Surveillés de près par Pékin, qui désire contrôler leurs opinions politiques, ils suscitent la méfiance des autorités locales de leurs pays d'accueil et de leurs camarades.
